Hurler pourrait-il être considéré comme une réponse au stress? Pourquoi pas ? On hurle, on détresse, non ?
J'aimerais qu'on l'envisage. Aujourd'hui, hurler, ça m'aurait bien plu. J'ai survécu, mais très difficilement, à une longue et ennuyeuses réunion pour nous dire des trucs qu'on savait déjà, mais il fallait. C'est le travail.
Vous aimez hurler ?
samedi 12 décembre 2009
mercredi 9 décembre 2009
maxi chemise et autres
dimanche 6 décembre 2009
Drame du quotidien
Hier, il s'est passé quelque chose de terrible. Terrible. Nous avions fini de dîner et nous débarrassions en hâte, histoire de nous précipiter ensuite devant la télé pour nous décérébrer toute la soirée en communion spirituelle avec des millions de Français - combien de millions exactement, on ne sait pas, mais pas mal tout de même, quand, en ouvrant la porte de mon armoire la boîte de sucre, mal rangée, a basculée et est tombé par terre en déversant tout son contenu sur le sol.
L'incident nous a pétrifié ; il était tard, on était crevé, on avait envie d'être collés l'un contre l'autre sur le canapé devant l'écran, peut-être ultérieurement collé l'un dans l'autre et le rangement était un sacrifice à notre bien être immédiat (on n'aime pas le bordel autour de nous). La perspective de rangement supplémentaire était désespérante. Mais nous avons fait face. Il a pris le balai, moi la pelle, on a nettoyé le gros, il est allé chercher le reste du repas, j'ai achevé le nettoyage et finalement ce terrible incident nous a coûté fort peu de travail en plus. Nous nous sommes bel et bien pelotonnés l'un contre l'autre devant l'écran.
Et le matin, faute de sucre, nous avons pris notre café au café, une petite aventure, une mini fête. On s'est dit qu'on devrait le faire plus souvent. On devrait. Mais on ne le fera pas. On oubliera. Mais finalement c'était chouette. Folies du quotidien.
L'incident nous a pétrifié ; il était tard, on était crevé, on avait envie d'être collés l'un contre l'autre sur le canapé devant l'écran, peut-être ultérieurement collé l'un dans l'autre et le rangement était un sacrifice à notre bien être immédiat (on n'aime pas le bordel autour de nous). La perspective de rangement supplémentaire était désespérante. Mais nous avons fait face. Il a pris le balai, moi la pelle, on a nettoyé le gros, il est allé chercher le reste du repas, j'ai achevé le nettoyage et finalement ce terrible incident nous a coûté fort peu de travail en plus. Nous nous sommes bel et bien pelotonnés l'un contre l'autre devant l'écran.
Et le matin, faute de sucre, nous avons pris notre café au café, une petite aventure, une mini fête. On s'est dit qu'on devrait le faire plus souvent. On devrait. Mais on ne le fera pas. On oubliera. Mais finalement c'était chouette. Folies du quotidien.
mercredi 2 décembre 2009
Froid
Froid. Hiver. gris. Brr. Aime pas.
Hier, soirée de la hype. De la hype pour moi. Explications : j'ai accompagné une collègue dont le fils joue dans un groupe de rock. Je me sentais hyper et mode et jeune (plus que d'hab) et in et tout. Mais le froid gachait tout. Au fond de mon âme, je rêvais de thé, de miel, de canapé et d'une couverture et buller devant la télé... Ne pas apprécier ce qui m'arrive au moment où , voilà mon drame. Soyez fiers de moi, je n'ai pas craqué.
Au sortir du boulot, un café, dans un café, pour se réchauffer, puis métro, changement, métro, RER (on vit dangereusement, tsé), puis marche dans un lieu triste et mouillé et bar avec musique. la musique j'ai aimé, et il y avait de la chaleur humaine et des grogs. Yahoo. Tel fut le cri de mon âme dans ce contexte. Grogs et gens en nombre, ça faisait effet canapé et couverture.
Le retour fut laborieux ; ils n'ont pas voulu que je dorme là bas. Dans les rues de cette morose banlieue nous avons marché en chantant. Vive la musique. Puis RER, métro, etc. Puis re-bar, car il fallait se séparer et nous étions triste. Rentrée fort tard, j'ai retrouvé l'Amoureux qui dormait et a grogné pour savoir si c'était bien. Oui, c'était. Puis j'ai dormi.
Hier, soirée de la hype. De la hype pour moi. Explications : j'ai accompagné une collègue dont le fils joue dans un groupe de rock. Je me sentais hyper et mode et jeune (plus que d'hab) et in et tout. Mais le froid gachait tout. Au fond de mon âme, je rêvais de thé, de miel, de canapé et d'une couverture et buller devant la télé... Ne pas apprécier ce qui m'arrive au moment où , voilà mon drame. Soyez fiers de moi, je n'ai pas craqué.
Au sortir du boulot, un café, dans un café, pour se réchauffer, puis métro, changement, métro, RER (on vit dangereusement, tsé), puis marche dans un lieu triste et mouillé et bar avec musique. la musique j'ai aimé, et il y avait de la chaleur humaine et des grogs. Yahoo. Tel fut le cri de mon âme dans ce contexte. Grogs et gens en nombre, ça faisait effet canapé et couverture.
Le retour fut laborieux ; ils n'ont pas voulu que je dorme là bas. Dans les rues de cette morose banlieue nous avons marché en chantant. Vive la musique. Puis RER, métro, etc. Puis re-bar, car il fallait se séparer et nous étions triste. Rentrée fort tard, j'ai retrouvé l'Amoureux qui dormait et a grogné pour savoir si c'était bien. Oui, c'était. Puis j'ai dormi.
dimanche 29 novembre 2009
Mon amour
Car j'en ai un, allez je parle de lui.
Il est gentil il m'aime il me fait des gâteaux des calins on fait des balades ensemble on va au restaurant il est doux il est gentil je l'aime.
Bon, ça, c'est fait.
Il est gentil il m'aime il me fait des gâteaux des calins on fait des balades ensemble on va au restaurant il est doux il est gentil je l'aime.
Bon, ça, c'est fait.
jeudi 26 novembre 2009
J'ai fait un rêve....
Oui, mais quand je fais des rêves, c'est des rêves cons.
Alors.
J'étais dans une grande maison, dans une grande cuisine. Attends, je n'étais que dans la cuisine, mais je savais que la maison était grande. Il y avait une grande fenêtre et on voyait le jardin.
Cette cuisine était celle de la maison dans un roman que j'ai lu quand j'étais en fac. Je l'ai imaginée et visualisée quand je l'ai lu. J'ai passé une nuit à lire ce roman, j'étais scotchée. Enfin pas une nuit mais j'ai dormi à quatre heures. Impossible de me souvenir du titre, je ne me souviens que de l'avoir adoré. malin. Pour ça que des fois je me dis que je vais tenir un blog de bouquins. Je crois que jamais j'oublierais mais si. J'ai lu des tombereaux de livres que j'ai oublié.
Bref dans mon rêve j'étais dans la cuisine et je faisais une tarte aux cerises avec une vieille dame sympa et lente qui était ma grand mère dans le rêve (ma vraie grand mère était différente, et de toute façon elle ne faisait pas de tartes aux cerises, mais des tartes aux sucre absolument merveilleuses). Je devais enlever des noyaux de cerises. La vieille dame avait du mal à tout faire et je devais juste enlever les noyaux des cerises.
Voilà c'est tout moi, rêver de dénoyauter des cerises. Après je me suis réveillée et j'ai pensé au roman, et comme impossible de me souvenir du titre, voilà, je l'ai dans le baba.
Alors.
J'étais dans une grande maison, dans une grande cuisine. Attends, je n'étais que dans la cuisine, mais je savais que la maison était grande. Il y avait une grande fenêtre et on voyait le jardin.
Cette cuisine était celle de la maison dans un roman que j'ai lu quand j'étais en fac. Je l'ai imaginée et visualisée quand je l'ai lu. J'ai passé une nuit à lire ce roman, j'étais scotchée. Enfin pas une nuit mais j'ai dormi à quatre heures. Impossible de me souvenir du titre, je ne me souviens que de l'avoir adoré. malin. Pour ça que des fois je me dis que je vais tenir un blog de bouquins. Je crois que jamais j'oublierais mais si. J'ai lu des tombereaux de livres que j'ai oublié.
Bref dans mon rêve j'étais dans la cuisine et je faisais une tarte aux cerises avec une vieille dame sympa et lente qui était ma grand mère dans le rêve (ma vraie grand mère était différente, et de toute façon elle ne faisait pas de tartes aux cerises, mais des tartes aux sucre absolument merveilleuses). Je devais enlever des noyaux de cerises. La vieille dame avait du mal à tout faire et je devais juste enlever les noyaux des cerises.
Voilà c'est tout moi, rêver de dénoyauter des cerises. Après je me suis réveillée et j'ai pensé au roman, et comme impossible de me souvenir du titre, voilà, je l'ai dans le baba.
dimanche 22 novembre 2009
Hier, mon cours de yoga. j'aime le yoga. je peux en faire des heures. Euh non, c'est pas vrai, pas des heures, mais longtemps sans voir défiler le temps.
Au début j'ai fait du yoga avec une petite dame ronde et boulotte de 50 ans et cepndant d'une souplesse à tomber par terre. D'ailleurs on était souvent allongé. Elle était stimulante, de la voir à son âge, avec ses rondeurs, faire le grand écart, ça donnait envie.
Mais j'ai déménagé. Aha. J'ai trouvé un autre cours de yoga qui en plus de s'adresser à mon corps s'adresse à mon mental. Il y a de la dadame, bon, mais il y a de la pépette - nom de nom, mais qui eut cru qu'autant de pépette allaient faire du yoga ?
La pépette yogue en justaucorps et fait tout impec. On la déteste toutes. Enfin il y a un groupe. De pépettes, avec une super pépette. Moi je vais au yoga avec de vieux vêtements moches. J'ai des grosses cuisses. Et alors ?
Et alors, je me sens con. J'aime pô.
Au début j'ai fait du yoga avec une petite dame ronde et boulotte de 50 ans et cepndant d'une souplesse à tomber par terre. D'ailleurs on était souvent allongé. Elle était stimulante, de la voir à son âge, avec ses rondeurs, faire le grand écart, ça donnait envie.
Mais j'ai déménagé. Aha. J'ai trouvé un autre cours de yoga qui en plus de s'adresser à mon corps s'adresse à mon mental. Il y a de la dadame, bon, mais il y a de la pépette - nom de nom, mais qui eut cru qu'autant de pépette allaient faire du yoga ?
La pépette yogue en justaucorps et fait tout impec. On la déteste toutes. Enfin il y a un groupe. De pépettes, avec une super pépette. Moi je vais au yoga avec de vieux vêtements moches. J'ai des grosses cuisses. Et alors ?
Et alors, je me sens con. J'aime pô.
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